Soleil et ambiance pour une fête de la mer réussie
La fête de la mer est indéniablement la préférée des villeneuvois et des touristes aoûtiens, et le millésime 2010 n'a pas failli à la tradition. Noël Ségura, maire de la commune accompagné d'élus, de responsables d'associations et de commerçants, s'étaient rassemblés au centre de loisirs de la plage du Pilou, pour l'apéritif municipal suivi de la traditionnelle brasucade de tonton Hervé et Fabrice, le tout mis en place et servi par le comité des fêtes et l'association Plage Mag.
Auparavant, et dès six heures du matin, les appâts étaient accrochés au bout des 95 lignes, pour le concours de pêche dont le vainqueur a été félicité pour une pêche de 1,5 kg, récompensée par l'incontournable spécialiste villeneuvois Néné.
En fin de matinée, un hommage avait été rendu à tous les démineurs qui avaient participé au déminage des plages languedociennes, autour de la stèle Pierre Coutou, et le père Francis Mauzac a béni les voiles latines au milieu des touristes déjà allongés sur le sable, et dont les enfants s'activaient pour construire le traditionnel tunnel avec un pont-levis afin de participer au concours de châteaux de sable organisé par Florence Ségura, présidente de l'association « Le droit à l'espoir ».
Les plus sportifs, de leur côté, participaient aux démonstrations de Sand-ball coordonnées sur la plage par Hérault sport, alors que d'autres préféraient participer à la course de canoë-kayak.
Tout cela a amené un public nombreux autour de la bodega du comité des fêtes, qui avait préparé deux énormes paellas, servies sur le sable avec vue sur la mer et le soleil couchant, alors que les premiers flonflons du bal se faisaient entendre, et que les enfants impatients attendaient surtout le feu d'artifice de la plage, qui n'a rien à envier aux communes balnéaire avoisinantes.
L'affluence sur la piste de danse sablonneuse redoublait d'intensité. Yoan, aux manettes de son podium disco, faisait danser un public venu pour faire une belle fête. Bref, la fête est maintenant finie et au petit matin la mer était toujours là, Ouf.