Les feuilles tombent les tags refleurissent
Mauvaises surprises pour une douzaine de propriétaires dont les constructions longent les 900 m du petit chemin piéton qui part de la rue du Grand jardin. En effet, des tags, c'est-à-dire des types de signatures, des logos inconnus, des injures, souillaient les façades de murs, ou pire encore, les structures en PVC blanc, qui avaient été mis en place le long des murs de clôture, à grands frais il y a peu de temps.
Si les graffiti ont une grande importance en archéologie, les tags sur les murs de la maison ou de l'enclos d'un particulier sont particulièrement malvenus et souillent l'environnement. Ils peuvent être considérés comme des actes de vandalisme, lesquels sont punissables par la loi.
Les individus tagueurs, qui n'ont rien à voir avec des graffeurs, salissent illégalement avec un but de destruction et devraient réfléchir aux conséquences de leurs actes, d'autant que quelques victimes auraient des informations concernant l'identité de certains individus, et restent vigilants pour protéger leur patrimoine.